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2 FAST 2 FURIOUS

Universal
(sortie vente zone B 04/2009)

Test conduit par Cornwall (Stéphane Roger)

film1 Brian O'Conner a signé sa plus belle action, mais aussi sa faute la plus grave, en laissant filer le chef du gang de voleurs de voitures qu'il avait mission d'infiltrer. Radié de la police de Los Angeles, ce jeune flic rebelle, fan de vitesse et de rodéos, a gardé intact son honneur mais a gâché une belle carrière. Après deux ans de galère, Brian O'Conner se retrouve à Miami et se voit offrir une ultime chance de se racheter. Le FBI et les douanes locales surveillent depuis plusieurs mois le puissant homme d'affaires Carter Verone, qu'ils soupçonnent de se livrer à des opérations de blanchiment d'argent. Mais leurs efforts sont restés vains, le seul indice dont ils disposent pour appâter et démasquer l'énigmatique criminel étant sa passion pour les rodéos. Le temps presse, Brian semble être le seul espoir...

Véritables stars de Fast and furious 2, les bolides du film ont été particulièrement bichonnés. Parmi les "premiers rôles" on retrouve la Nissan Skyline, l'EVO 7 Mitsubishi, l'Hemi Dodge Challenger 1970, la Yenko Camaro 1969, la BMW M3 1998, la Dodge Viper 2003, la Chevy Corvette, la Toyota Supra 1994, la Mazda RX7 1994, la Honda S2000 et l'Acura NSX 1993. Le look des automobiles a été principalement conçu par le chef décorateur du film, Keith Brian Burns, qui privilégia les couleurs vives ainsi que les équipements et accessoires de qualité supérieure.


Vin Diesel
 a refusé de jouer dans Fast and furious 2 en invoquant que la fin du premier Fast & furious ne permettait pas à son personnage de revenir dans une nouvelle aventure. D'autres rumeurs avaient un temps annoncé que le désaccord serait d'ordre financier, le cachet ne convenant pas aux exigences de la star.


Universal consacra une part significative du budget de Fast and furious 2 à la construction ou à l'acquisition de près de 190 véhicules. Quelque 400 voitures furent également employées en tant que "figurantes".


Fast and furious 2 marque la seconde collaboration entre le réalisateur John Singleton et le comédien Cole Hauser, qui interprète Carter Verone, le méchant du film. Tous deux avaient en effet déjà travaillé ensemble à l'occasion de Higher learning en 1995. Le tournage donna également lieu àJohn Singleton de retrouver Tyrese Gibson, qu'il avait déjà dirigé dans Baby boy en 2001.


Fast and furious 2 est la suite de Fast & furious, succès surprise de l'année 2001. Doté d'un budget de 38 millions de dollars, le film en rapportera plus de 144 millions rien qu'aux Etats-Unis, et révèlera l'acteur Vin Dieseldans le monde entier.


Devon Aoki fait ses grands débuts au cinéma à l'occasion de Fast and furious 2, dans lequel elle incarne Suki, l'unique présence féminine lors des compétitions de voitures. Son visage est pourtant familier du grand public, la jeune femme ayant un passé prestigieux de mannequin, notamment pour la maison Chanel. Devon Aoki n'avait d'ailleurs pas encore son permis au moment de la pré-production du film, elle le passa donc avec succès pour le tournage, avant d'enchaîner avec une formation accélérée qui lui permit de piloter sa Honda rose à de grandes vitesses.


Fast and furious 2 a pour cadre la ville de Miami. Parmi de nombreux décors naturels, l'équipe utilisa plusieurs sites familiers, comme le fameuxSeven-Mile Bridge des Florida Keys, la Homestead Air Force Base et sa douane, ainsi que l'ancienne résidence de Sylvester Stallone.


Le rôle de Tej dans Fast and furious 2 est revenu au rappeur Ludacris. Mais de nombreux autres rappeurs avaient passé une audition pour ce personnage, dont Redman, Loon ou encore 50 Cent.


Devant l'énorme succès de Fast & furiousJohn Singleton, réalisateur deFast and furious 2, avait émis un regret : "Lorsque je l'ai vu, je me suis dit : "Bon Dieu, pourquoi n'ai-je pas eu cette idée ? Dans les rues de South Central où j'ai grandi, se déroulaient chaque nuit des courses de bolides. J'y faisais d'ailleurs allusion dans Boyz'n the Hood".


Comme la société de production Universal ne savait pas si Vin Diesel ferait oui ou non partie de l'aventure Fast and furious 2 à l'époque du développement du film, celle-ci commanda aux scénaristes du film deux scripts : l'un intégrait le personnage de Vin Diesel, et l'autre non.

 

Vidéo : Que vaut l'image de ce Blu-Ray?

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A l’image du premier volet, les prestations haute définition se montrent de tout premier choix. Universal nous livre ici un master en grande forme, très coloré, vivant, très appréciable. La qualité de l’image grimpe d’un bon cran en avant, avec certains plans qui se détachent du lot de manière notable. Le piqué s’y montre globalement plus accrocheur, et s’affine même au fil du métrage. Les détails dans les scènes sombres semblent plus présents (voir la scène inaugurale) ainsi que le niveau des noirs,  plus épanoui. La température colorimétrique accuse de très belles valeurs, à nouveau, offrant une très large palette expressive sur les bolides pour ne citer qu’eux. Fluidité et naturel sont préservés, pour de belles textures cinéma que le léger grain argentique vient encore améliorer. Difficile de lui reprocher quoi que ce soit. Le codec vidéo VC-1 de Microsoft se montre à son avantage, délivrant des images texturées et fidèles, ainsi qu’un niveau de détail et de définition que nous pouvons aisément qualifier d’excellent. Une très belle édition pour ce film de 2003, présenté ici en pleine forme (master + encodage). Rutilant et plus subtil que le premier opus.

 

 

Audio : Analyse artistique et technique de la bande-son

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Point de piste DTS sur les éditions DVD premières du nom pour ce film quoi, vu en salles, nous avait remarquablement impressionné par son mixage archi-agressif et tonitruant. Cette édition Blu-Ray et sa piste son encodée en DTS-HD Master Audio 5.1 enchante les sens, produisant des nappes de vrombissements en tout genre, et autres passages d’engins en boucle. Une scène sonore diabolique et qui fonce vers l’essentiel : celui de a performance acoustique tous azimuts. L’intégralité de la scène sonore se met en branle lorsque sont sollicités les bolides : à l’image de cette très impressionnante scène inaugurale, qui nous a bluffé non seulement par son sens du spectacle auditif, mais surtout par les multiples prouesses dont fait preuve son design multicanaux : les multiples sifflements des pistons et des turbos, les détails des sons des moteurs, le poids acoustique des lieux visités, la sensation de vitesse exubérante… Tout y est retranscrit et positionné au cœur d’une scène sonore d’une richesse formidable, que le codec  audio HD permet de décompresser totalement, offrant par-là même une pression acoustique maximale et un sentiment de puissance décuplé. A nouveau, cette édition pousse le spectacle auditif encore plus loin que sur le premier opus. Chaque détail audio semble décuplé, exagéré (sur le canal central et la scène frontale), pour davantage d’efficacité. Un design sonore accrocheur et un mixage tonitruant permettent au film de se dépasser lui-même. La dynamique se montre anthologique (voir cette séquence d’introduction) et propose une violence acoustique sans commune mesure, qui inviterait presque à baisser le son. Couplée à une gestion du renfort de grave (canal 0.1 LFE) en tous points parfaite, il s’agit là d’une réelle expérience sonore, malheureusement confinée à la première partie du métrage, la seconde se montrant plus classique, et faisant même montre d’n affaiblissement du potentiel du mixage…  De très grandes valeurs dynamiques, une vitesse des sons dans l’espace impressionnante, et une créativité certains finissent d’achever ce tableau sonore de premier choix. Une nuance importante toutefois : le poids de la scène arrière ne nous semble pas si optimal que cela. Pire : il est même moins perforant que celui proposé sur le premier opus, qui traitait scène avant et arrière à égalité en termes de rendu. Ici, on regrettera, amèrement, que la scène arrière se montre moins audible, plus secondaire, moins « appairée » et surtout plus « apaisée » (d'où notre note plus basse un peu plus bas sur cette page...). Elle ne possède en réalité pas le poids que l’on aurait souhaité, et ses multiples incarnations se montrent tout de même plus faibles en niveau que celles du premier opus. Les passages des bolides sont en ce sens plus percutants sur l’arc frontal qu’ils e le sont à l’arrière, et ce même si cette scène arrière sait tout de même se montrer accrocheuse, dynamique et fine.

Suramplifiée, et volumétriquement spatiale, cette bande-son se pose, à nouveau, comme un excellent exemple des possibilités du codec  DTS-HD Master Audio, qui balaye d’un revers de manche les piste mi débit également présentes. Les différences vont jusqu’à  x10 tant la violence restituée en DTS-HD Master Audio se montre absente en DTS 5.1 mi débit. Le format audio HD détache encore plus les décibels et bénéficie d’une qualité de projection du son dans l’espace sans  commune mesure. Associé à une dynamique qui profite réellement de ses 24 Bit de définition, nous n’avons rien à reprocher à ces prestations haut de gamme, à cette acoustique du grand spectacle. La réponse en fréquence s’y montre très large, avec des aigus effilés et cinglants comme nous les apprécions tant, et un registre grave et sous-grave démentiel, voire qualifiable de délirant lors de la première séquence d’action.

Plus la série progresse, plus les bandes-sons récupèrent en énergie et en possibilités multicanaux, à l’image de l’apparition du titre du film à l’écran en lettres fluo, qui illuminent le cadre mais laissent également des traces acoustiques furieuses dans l’espace sonore avant et arrière. Chaudement recommandée, nous attribuons à ce mixage et à cette bande-son multicanaux un Diapason de Bronze. En revanche, les résultats des pistes son compressées laissent sur le carreau... dans le (très) mauvais sens du terme.

 



Interactivité

film1 Très complète, elle surprend par sa richesse et sa densité, et ce même si les segments se montrent plutôt courts et assez peu pertinents... A deux exceptions HD près, elle reprend, en SD, les suppléments des éditions DVD Collector, et ya joute un accès au BD-Live et une option U-Control. A signaler; la fonction "my scenes", utile pour bookmarker vos scènes de démonstration favorites... le film s'y prêtant plus qu'à l'accoutumé.

 

Fast Females (HD - 7.54 minutes)

Hollywood Impact (HD – 13.23 minutes)

Prelude to 2 Fast 2 Furious (HD – 5.11 minutes)

Deletes Scenes (SD – 6.06 minutes)

Outakes (SD – 2.43 minutes)

Inside 2 Fast 2 Furious (SD – 10.02 minutes)

Actor Driving School (SD – 6.38 minutes)

Tricking Out a Hot Import (SD – 3.21 minutes)

Supercharged Stunts (SD – 5.28 minutes)

Making Music With Ludacris (SD – 4.59 minutes)

Actor Spotlights (SD – 6.58 minutes)

Car Spotlights (SD – 9.15 minutes)

. Option U-Control

. Accès BD-Live

 

 

Nos Notes du Disque

 

Note Image

Note DTS

Note artistique mixage

Note artistique mixage

Note artistique mixage

Note artistique mixage

Note Interactivié

Note Image

Note DTS

mixage artistique

Note Interactivité

Note Interactivité

Note Interactivité

Note Interactivité


Diapason de Bronze

 
Note Globale

Note Globale



Note
jaquette


specifications techniques

- BD-50
- 112 minutes (film)
- Zone B - France
- Intro DTS: NON

- Changement de piste son à la volée possible



format video
2.35:1
VC-1

 

format DTS
- Français DTS 5.1 Mi Débit

- Espagnol idem

- Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
au débit moyen mesuré de Kbps.


format PCM
- Aucun



sous-titres
- Français


interactivite
- Menus animés et 5.1
- Chapitrage
- Sélection codage son
- Accès aux suppléments





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