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titre du film

DTS-HD Master Audio
Anglais (24 Bit, 48 Khz)
DIAPASON Français
Polonais
(Mi Débit)
Codec Vidéo MPEG-4 AVC
Format
DIAPASON

Zone: B (PAL)
Editeur:
Fox France
Sous-Titres
: Français...
Durée: 88 minutes
Boîtier
: Blu-Ray Standard
Interactivité: standard + Java enabled
Blu-Ray Double Couche (50 Go)

Disponibilité: début septembre 2008

JUMPER

Chronique par Cornwall (Stéphane Roger)

 

Depuis qu'il a découvert qu'il pouvait se téléporter n'importe où sur terre, le monde n'a plus de limite pour David Rice. grâce à son pouvoir, il peut déjeuner en Egypte sur la tête du Sphinx, passer la journée à faire du surf en Australie, dîner à Paris et prendre le dessert au Japon. Les murs ne l'arrêtent plus et aucun coffre de banque ne lui résiste. Libre comme personne, David vit dans l'insouciance la plus totale, jusqu'à ce que...

 

Jumper est l'adaptation d'une nouvelle de Steven Gould sortie en 1992, lauréat de nombreux prix. La nouvelle a eue une suite en 2004 nommé Reflex.

Doug Liman a exigé qu'Hayden Christensen réalise lui-même ses cascades. Résultat : une main blessé, une oreille ouverte, et une inflammation de la pupille qui l'a envoyé à l'hôpital !

 

L'équipe a eu la chance de pouvoir filmer quelques scènes au Colisée de Rome pendant 3 jours mais sous certaines conditions. Ils devaient impérativement ne poser aucun objet au sol, ils ne pouvaient utiliser aucune lumière artificielle et le tournage ne pouvait avoir lieu qu'entre 6h30 et 8h30 du matin et de 15h30 à 17h30 pour ne pas gêner les touristes.

 

Une oeuvre clipesque qui bénéficie d'une mise en boîté difficilement acceptable de la part d'un cinéaste à la notoriété qui reste à démontrer. Sans abuser de trop de ficelles convenues, la trame dramatique a toutefois tendance à s'égarer dans les détails sans pour autant en ssumer les conséquences immédiates. Au grand final, le film baigne dans une lueur supernaturelle qu'il n'exploite pas à bon escient, ne proposant par là même qu'un spectacle certes efficace mais qui s'achève sur la sensation de n'avoir assisté qu'à l'ombre de quelques bonnes trouvailles qui, fussent elles savamment orchestrées, auraient pu désenclaver le récit et l'inscrire dans un ensemble plus compétent.

 


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d L'image

Excellente présentation que voilà. Sans jamais tomber dans les excès ou verser dans les extrêmes, ce pressage attient son potentiel haute définition dès les tout premiers instants. Qu’il s’agisse en effet de scènes naturelles ou d’autres à effets visuels parfois inédits, le style s’uniformise et l’encodage MPEG 4 AVC suit la cadence du montage avec une agilité sans faille. Quelle dextérité visuelle, dextérité qui, force est de le reconnaître, est due au codec AVC qui réalise un éblouissement permanent. La gamme chromatique se montre très étendue. Sans excès ou sursaturation exagérée, elle fait dominer les couleurs primaires (aux accents ocre lors de séquences à Rome) sur l’ensemble du métrage, procurant un confort visuel intact. Les séquences à Tokyo se montreront elles aussi à leur avantage pour ce qui est de la colorimétrie. Celle-ci ne sera jamais outrancière représentée, mais bénéficie d’une saturation juste et fidèle à l’étalonnage numérique, que l’on imagine assez complexe. Les contrastes se montreront toujours lisibles, jusque dans les scènes les plus sombres. Sans toutefois atteindre des valeurs élevées, ces contrastes se montrent dans la norme établie, et offrent une franche découpe de l’espace visuel, des détails les plus clairs aux plus obscurs. La luminosité est également pimpante, notamment lors des premières séquences, où elle se montre ajustée et crédible. Les images demeurent toujours positives, fortes d’une très belle gamme dynamique qui respire bon la HD. Pas d’effets d’escalier ou de halo disgracieux pour ce qui est de la compression. Le niveau de détail proposé représente à n’en point douter l’un des points majeurs de cette sortie Blu-Ray : la densité des images se montre stupéfiante et le rendu étonne sans cesse par ses accents de vérité. Les détails des vêtements, des décors, des effets visuels ou encore la clarté des arrière-plans viennent étayer un rendu fidèle et finalement réaliste. Le degré de définition atteint de très belles valeurs et le piqué demeure assez argentique dans son rendu à l’écran. Les images resplendissent et se montrent fluides et aérées, naturelles et parviennent à suffisamment de pouvoir évocateur. Enfin saluons l’intégration des effets spéciaux qui, à défaut de se montrer très réalistes, parviennent à occuper les cadres et à s’y fondre avec homogénéité la plupart du temps. On sent physiquement les différences de focales employées ainsi que le type de pellicule photochimique (d’une ville à l’autre, les changements sont notables). A noter que le film a été partiellement filmé à l’aide de caméra Haute Définition, afin de parfaire l’intégration des effets visuels, notamment lors de la séquence très colorée et vive de Tokyo. De la vivacité, de l’énergie, une dynamique vidéo exemplaire, des images fluides au rendu optimisé par le codec AVC… Pas de doutes, il s’agit d’une réussite de plus pour l’éditeur, très exigeant.

 

 



Le Son

Il en va de même, pour ne pas dire à l’identique, pour ce qui est du registre sonore. La bande-son du film profite d’une très belle dynamique et d’une assise sur tous les registres qui font mouche. La bande-son se fait alerte et réactive, expansive et dentelée. L’univers acoustique du film repose sur une exploitation souveraine de l’espace frontal, mais n’en oublie pas pour autant la scène arrière. Cette dernière ne sera pas vraiment sollicitée outre mesure, mais prolonge l’espace sonore frontal avec une belle dextérité, proposant un placement des effets net et précis. Certains effets rémanents bénéficient d’une dissolution tardive et durent plus longtemps qu’à l’accoutumé (en particulier lors des jumps, jump-marks etc…). L’intégralité de la bande-son s’offre le confort d’une exploitation multicanaux quasi-permanente, faite de respirations soudaines et de placements très précis en de maintes occasions. L’ensemble se montre très réactif et dynamique, et par moments, la partition est ventilée sur tous les canaux, créant une sensation de recouvrement très efficace. La réponse en fréquence se montre élogieuse, avec un haut du spectre très ouvert et directionnel, des médiums naturels et étendus, et un registre grave convenablement exploité, principalement lors des sauts ou des acrobaties des personnages. Les séquences d’action se montrent toutefois comme réservées, et si elles profitent de tout l’espace disponible, on ne notera pas d’efforts particuliers pour éclairer la bande-son de l’intérieur, d’où ce sentiment ce ténuité parfois ressenti. Mais dans son grand ensemble, la scène sonore apparaît mobile et expansive, directionnelle et volumineuse. Les dialogues jouissent d’un fort agréable calibre de diffusion : ils possèdent du corps et se voient définis dans l’espace, reproduisent l’acoustique des lieux avec tact et qualité. La fraîcheur de ce mixage est en partie du à l’excellence des éléments source, et à un positionnement très précis dans l’espace, audible dès les premières séquences.

A la clarté qui domine s’ajoute une spatialisation efficace à défaut d’être inoubliable, qui profite d’un format 5.1 multicanaux plutôt généreux dans son approche de la distribution des éléments dans l’espace d’écoute. Le codage DTS-HD Master Audio (que nous exploitons toujours en DTS EnCore Plein Débit…) parvient à conserver l’énergie du mixage intacte, et à propager la dynamique frontale très alerte jusque dans la scène arrière, créant par là-même un sentiment de globalité fort bienvenu, et ce même si les effets placés sur les voies arrières manquent quelque peu de délié et de différentiation. L’écoute en DTS se montre très efficace et agressive à souhait, le codec préservant dynamique et clarté, et affinant le rendu global avec une grande efficacité scénique. Energie et mouvements se voient ainsi optimisés et libres de toute concession. Le train de bits étant de nature fort généreuse, les résultats enthousiasment et ravissent, même si l’on aurait souhaité davantage de délinéation et de définition, de piqué acoustique en provenance de la scène arrière, certes très bien intégrée, mais quelque peu diffuse en de nombreuses occasions.

 

 

 

InteractiitéInteractivité

La Fox accueille les spectateurs (enfin!) par un menu sonorisé proposé en HD fixe. Ceci induit tout de même davanatge de confort et d'élégance à leurs publications jusqu'alors dépourvues de menu racine, mais proposant seulement des menus pop up certes très fonctionnels, mais accessibles uniquement durant la lecture.

Présentés en VOST et en HD 1080i/p pour la plupart, les suppléments comprenennt::

- Commentaire audio du réalisateur, du scénariste et du producteur

- Modules sur le tournage en mode PIP

- Making-of (35’34)

- Episode sous forme de BD animée (8’)

- Comment téléporter un acteur (7’36)

- Du roman au film (8’)

- 6 Scènes coupées (11’)

- Prévisualisations (4’)

- Code D-Box Motion

 

 

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