logoMOTEUR DE RECHERCHE DE TESTS DVD RECENCANT TOUS LES SITES WEB DVD FRANCAIS
11111111111
navigation critique dvd

Critiques DVD
>>Les derniers tests

Actualités DVD
>>Toute l'info, archives

Captures Menu
>>Tous les Menus DVD

Dossiers DTS
>>Tout savoir sur le DTS

La DTSthèque
>>Tous les DVD DTS dans le monde

Les Introuvables
>>Ces DVD valent de l'or

NOS PARTENAIRES

La Momie

Universal
(sortie vente zone B France 25/11/2008)

Un film de Stephen Sommers
Avec: Brendan Fraser, Rachel Weisz...

d 1999


Test conduit par Cornwall (Stéphane Roger)
film2
 

Longtemps avant la naissance du Christ, pour avoir osé défier le pharaon en lui ravissant sa jeune maîtresse, le grand prêtre de Thèbes, Imhotep, est momifié vivant et enseveli dans une crypte secrète d'Hamunaptra, la cité des morts. Du fond de son sarcophage, le grand prêtre jure de se venger du genre humain. En 1923, un aventurier américain, Rick O'Connell, découvre fortuitement les ruines d'Hamunaptra que des générations d'égyptologues recherchaient en vain. Il met dans le secret une jeune égyptologue et son frère et tous trois partent à la recherche du trésor des pharaons.


DOSSIER DE PRESSE

L'organisation des extérieurs marocains a été assurée par la coproductrice Patricia Carr, une femme habituée aux tournages dans le désert, puisqu'elle avait déjà travaillé sur La Guerre des Etoiles, Le Retour du Jedi, Les aventuriers de l'Arche Perdue et Indiana Jones et la dernière croisade.
 

La première partie du tournage se déroula au Maroc. Les premières prises de vues débutèrent à Marrakech, par les séquences de la Casbah et du bazar du Caire. Les ruines d'Hamunaptra, "La Cité des Morts », furent édifiées dans le cratère d'un volcan éteint, aux abords de la bourgade saharienne d'Erfoud. La température atteignait fréquemment 40° dès l'aube? Les intérieurs (notamment les souterrains de la Cité des Morts) ont été construits non loin de Londres, dans les légendaires studios de Shepperton qui ont accueilli de nombreuses superproductions.

 

Arnold Vosloo a été conseillé par Stewart Smith, professeur d'égyptologie à l'UCLA. Parmi ses compétences, il peut lire les hiéroglyphes. Stewart Smith avait déjà la responsabilité des dialogues anciens sur le film Stargate.

 

Il a coordonné les scènes d'action et les cascades deTitanic (James Cameron), Il faut sauver le soldat Ryan (Steven Spielberg), Braveheart, ( Mel Gibson), Goldeneye (Martin Campbell), Les 101 Dalmatiens (Stephen Herek). Avant de passer chef cascadeur, Simon Crane a réalisé les cascades de nombreux films parmi lesquels : Aliens (James Cameron), Total Recall (Paul Verhoeven), Air America (Roger Spottiswood ? doublure de Mel Gibson), Robin des Bois, Prince des voleurs (Kevin Reynolds ? doublure de Kevin Costner), Batman (Tim Burton) et deux James Bond : Tuer n'est pas jouer et Permis de tuer...

 


Vidéo : Que vaut l'image de ce Blu-Ray ?

film2

Un pressage en très grande forme, qui, durant la globalité du métrage, permettra de redécouvrir complètement le film et ses teintes ensoleillées ocres et orangées, chaudes et exotiques. Cette édition Blu-Ray préserve un certain niveau de grain originel, et l'on se plaindra pas du rendu argentique en diable, jusqu'aux effets spéciaux, intégrés avec soin, mais parfois peu attentifs à la logique de la scène. Depuis 1999, bien des progrès ont en effet été accomplis. Au travers du film, et son alternance de scènes solaires et intérieures baignants dans l'obscurité, le niveau de contraste se montrera ad hoc et convaincant, permettant aux intérieures des grottes de se montrer lisibles et clairsemés de lumière. La luminosité explose lors des extérieurs jours, qui montrent un niveau de prestation très élevé sur cet encodage VC-1 de bon aloi. En ce sens, les plans larges et autres panormaiques sur le désert se montreront archi-lumineux et véhiculent une très grande dynamique visuelle, alliée à un degré de piqué dans l'image très agréable sur les plans en extérieur. La définition oscille de correcte à saisissante, et permet une relecture complète de ce long-métrage. Les détails de la peau, les pores de celle-ci, les armures, les brillances et les autres détails de cet univers très BD sont explorés avec soin et précision, sublimés même par un encodage respectueux des détails et très à l'écoute du master.

Nous poserons toutefois quelques importances réserves sur la 'fraîcheur' de certains plans, à la définition vacillante, comme c'est trop souvent le cas sur certains plans larges au début du film, qui accusent un flou trop prononcé et loin de toute propension Haute Définition. La suite sera tout de même lagement plus convaincante, avec un excellent niveau de détail et des images lumineuses et piquées, denses et remplies de détails (certains plans sur les visages au début du film se montrent littéralement remarquables). La température colorimétrique est placée très haut sur le spectre visible, et les oranges, jaunes et autres teintes orangées se montreront à leur avantage sur toute l'étendue du film. La palette de couleurs accuse une grande dynamique et une saturation certes forcée mais appréciable, due à un emploi massif de fitres lors du tournage, couplé à un étalonnage très forcé sur la chaleur, que ce Blu-Ray restitue admirablement bien en termes de précision. Luminance et chrominance se montrent extrêmes lors des extérieurs jours, resplendissants et piqués à souhait. Outre une très légère tendance à un mosquito noise lors de certaines séquences en intérieur, rien à signaler en termes d'artefacts, grâce au codec VC-1 en grande forme ici proposé. Au final, c'est à un grand confort de visionnage que les spectateurs sont conviés, et ce même si certaines scènes en intérieurs manquent de délié et de définition, tout comme de contrastes plus prononcés. Néanmoins, les noirs ne sont jamais bouchés, mais n'auront jamais l'impact réellement souhaité, en raison, sans doutes, de l'âge de ce métrage, et d'une remasterisation un peu rapide.

 

 

Audio : Analyse artistique et technique de la bande-son

film2

Venons-en à présent aux confidences: nous n'avons jamais apprécié cette bande-son... De par ses multiples incarnations sur DVD (le DVD zone 1 proposait, en 1999 et 2000, une piste DTS Mi Débit très célèbre pour avoir tourné en démonstration chez les revendeurs des mois durant), le mixage offert par le film nous semblait certes dynamique, mais manquait de spatialisation et de conviction, sur l'ensemble du film. Après une projection au cinéma très décevante, dont nous nous souvenons, l'expérience DVD Dolby Digital et DTS 5.1 fut elle aussi non pas un désastre, mais laissait poindre un sentiment de déception suffisament fort pour ne pas nous lâcher. Cette édition Blu-Ray reprend à son compte le mixage de 1999, et reproduit à nouveau ses manquements certains. Le sound design suit pourtant de très près le travail attentif de ILM réalisé sur les effets visuels. Sans manquer de vergogne, il use et abuse de grognements, de lamentations, de sonorités d'outre tombe tantôt abstraites tantôt bien concrètes, et dessine un paysage acoustique très bande-dessinée, favorable à son ton aventureux. Mais là où nous posons nos réserves, ce sera sur l'exploitation dimensionnelle de ces vertus de mixage. Par exemple, la scène arrière ne sera employée qu'en de très rares moments, principalement lors des événements d'outre-tombe, et se verra complètement remisée le reste du temps. Il subsiste une scène sonore frontale certes expansive et naturelle, aux belles respirations musicales (superbe partition de Jerry Goldsmith, très ample et aux sonorités inspirées, bien mise en avant dans l'univers acoustique du film), mais qui manquera également de convaincre en raison d'une stéréophonie applatie, et une réponse en fréquence sans réelle nuance d'un instant à l'autre, sans doutes trop établie sur le haut médium et la zone aigue du spectre audible. Le canal de basse 0.1 LFE se voit délaissé la plupart du temps, à l'exception de la scène finale, et cela se ressent: manque de fondement dynamique , assise sonore bancale, paysage acoustique en demi-teintes... Cete absence de nuance nuit au dimensionnement du son, et ce mixage repose sur sa propre force dynamique, certes affutée et convaincante, à n'en point douter, mais il subsiste un sentiment de manquement.

Les dialogues se montrent en bonne forme sur le canal central, et profitent d'une belle clarté physique, même dans le chaos ambiant régnant parfois. Le canal central articule la scène sonore frontale et propose, souvent, une triphonie organisée, mais sans réelle ampleur acoustique, sans souffle dynamique concerté. L'arc sonore arrière se voit très peu usité, et ne profite au spectacle que pour proposer une extension symphonique à la partition de Goldsmith, ample et spacieuse. Quelques accords y sont répartis avec soin, mais globalement, elle se voit sous-employée et ne véhicule pas la finesse escomptée et attendue. Sa réponse en fréquence manque de lumière et de clarté, et son pouvoir de définition ne vous laissera pas sur le carreau. Le piqué acoustique, en retrait, conjugue parfois quelques belles envolées lyriques, mais la fraîcheur ambiante ne marquera pas l'auditeur. A film événementiel, bande-son idoine. Or, ici, le spectacle se montre quelque peu timorré et restreint, limité par une réponse en fréquence trop schématique et guère endiablée. L'attaque initiale propose des coups de feu non réalistes et peu localisés, et dispose d'une scène sonore et acoustique peu expansive, non virevoltante, qui, du coup, perd en texture surround et manque imanquablement d'aplomb expressif.

Le codec DTS-HD Master Audio autorise de plus amples débattements de vos membranes, et même si nous l'écoutons en mode DTS EnCore (plein débit 1509.75 Kbps), force est de constater qu'il ne manque ni de ressources ni d'envergure, mais en raison d'un mixage peu optimal et tout simpelemnt décevant, les sensations attendues se voient fortement atténuées. Disparues les traces de compression audibles sur le DVD SD en Dolby Digital. Ici, le mixage respire et s'autorise de belles envolées: l'arc frontal se montre plus présent, plus agressif, plus défini, et la globalité des signaux profite d'une épaisseur plus dense, plus ouverte. Une réactivité plus soutenue est également à l'ordre du jour

 



Suppléments

Intégralement présenté en SD et en 4/3, elle se montre peu robuste et repose sur des featurettes issues des précédentes éditions DVD.

A signaler: une bonne piste U-Control, qui présente de régulières vidéos faisant la part belle aux images du tournage, effets spéciaux, interviews du casting etc... Un picture in picture fréquent et efficace, qui remplit son office avec maestria.

Possibilité aussi de chapitrer le film à son bon vouloir au travers de l'option "My Scenes", qui offre également la possibilité de créer des clips à l'aide des touches verte et bleu de votre télécommande. Enfin, un screensaver aux couleurs d'Universal est joint, comme sur tous les titres de l'éditeur, et il s'active au bout de deux minutes de mise en pause.

- Commentaires audio du réalisateur, du monteur et des acteurs
- Making-of
- Effets spéciaux
- Comparaison storyboard/film
- Montage photos
- Bande-annonce
(4/3, SD, Dolby Digital 2.0)

 

 

Nos Notes du Disque

 

Note Image

Note DTS

Note artistique mixage

Note Interactivié

Note Image

Note DTS

mixage artistique

Note Interactivité

 

 
Note Globale

Note Globale



Note





jaquette


specifications techniques

- Blu-Ray Disc 25 Go
- 125 minutes (film)
- Zone B (PAL) - France
- Intro DTS: NON
- Changement de piste son à la volée possible



format video
2 .35:1 CinémaScope
1080p/24
Encodage VC-1

 

format DTS
- Anglais 5.1 Master Audio
- Français 5.1 Mi Débit
- Japonais 5.1 Mi Débit
- Espagnol 5.1
Mi Débit



format PCM
- Aucun



sous-titres
- Français
- Anglais
- ...


interactivite
- Menus animés et 5.1
- Chapitrage
- Sélection codage son
- Accès aux suppléments





© 2003
- Revolusound.com. Tous les logos et diagrammes qui apparaissent sur ce site sont la propriété
unique et exclusive des marques / sociétés citées. Leur présence sur ce site n'est qu'illustrative, et n'est soumise
à aucune forme de contrat. Pour toute donnée supplémentaire sur DTS, merci de consulter
le site officiel: www.dtsonline.com.