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NOS PARTENAIRES

Pitch Black

Universal
(sortie vente zone B France 06/01/2009)

Un film de David Twohy
Avec: Vin Diesel...

d 2001


Test conduit par Cornwall (Stéphane Roger)
film2
 
Un vaisseau spatial transportant une quarantaine de civils est percuté par une météorite et se crashe sur une planète inconnue. Les membres de l'équipage périssent dans l'accident, à l'exception de Fry, une jeune pilote, et de quelques survivants. Parmi eux, un imam et ses disciples, un antiquaire, une géologue, une adolescente, le chasseur de Johns et Riddick, un criminel endurci en cours de transfert vers sa prison. Alors que le petit groupe tente de s'organiser sous un climat aride de jour perpétuel dominé par trois soleils, ils découvrent qu'une éclipse va bientôt frapper la planète, permettant à de monstrueuses créatures nocturnes de se mettre en chasse...


DOSSIER DE PRESSE

Pitch black est le film qui révéla Vin Diesel. Après des débuts dans le cinéma indépendant, le comédien, devenu depuis la nouvelle star musclée d'Hollywood, était jusque-là apparu dans Il faut sauver le soldat Ryan et avait prêté sa voix au Géant de fer.

 

Pitch Black a initié une saga SF basée autour du personnage de Riddick. Le film est suivi par Les Chroniques de Riddick : sorti en 2004, le long métrage est le premier volet d'une trilogie basée sur le personnage de Riddick, Les Chroniques de Riddick et ses futures suites étant à Pitch Black ce que Le Seigneur des anneaux est à Bilbo le Hobbit. Outre le grand écran, la saga se décline également en DVD via le film d'animation Dark fury, dont l'intrigue fait le lien entre Pitch Black et Les Chroniques de Riddick, et en jeu vidéo à travers The Chronicles of Riddick : Escape from Butcher Bay qui revient sur l'évasion de Riddick, bien avant les événements relatés dans Pitch Black.


 

"Pitch Black repose sur une idée que je trouvais fascinante parce qu'elle nous plonge au coeur de l'enfance et de nos phobies nocturnes", explique le producteur Tom Engelman. "Je me souviens très bien de ma première frayeur, lorsque j'avais cinq ans. Je me suis réveillé dans le noir, dans une pièce étrange que je ne connaissais pas... j'étais terrifié. Je suis tombé du lit et j'ai couru à travers la maison en hurlant, poursuivi par toutes sortes de monstres et de démons. Lorsque j'ai lu le scénario la première fois, j'ai retrouvé cette peur lointaine que nous avons presque tous connue".

Une fin alternative aurait été tournée, dans laquelle le personnage de Riddick succombait sous les attaques des créatures. Face à ce personnage très porteur, les producteurs décidèrent finalement d'adopter une fin permettant son retour.

 

 

Vidéo : Que vaut l'image de ce Blu-Ray ?

film2

FIdèles aux inentions artistiques de Daid Twohy, les images de Pitch Black enchantent sur support Blu-Ray, principalement lors de la première partie, diurne, sur la planète sauvage. Une saturation fort bien gérée, qui alterne les filtres orangés et les teintes cyan pour représenter le chaos ambiant et l'univers très BD proposé. La définition s'y montre solide en toutes circonstances, et ce en dépit de la source très analogique et au budget limité (20 Millions de Dollars seulement poyr l'ensemble du film). La seconde partie se montre bien plus sombre: nocturne, sans lumière, les images baignent dans l'obscurité ambiante, et le niveau et la profondeur des noirs s'y montrent aux petits oignons, bien que des fluctuations régulières ne fassent leur apparition. Ces séquences obscures se montrent à eur avantage, font remonter le niveau de grain, et parfois, d'un peu de bruit vidéo, mais sans pour autant rompre avec la prestance de la définition. Les arrière-plans sont définis, donnant beaucoup à lire dans les hors-champs, et la luminosité, très altérée, préserve de belles qualité (certains blancs crâmés de la première partie). Des images fluides qui procurent un visionnage de qualité indéniable, un très gros cran au-dessus de ce que proposait le DVD-Vidéo sorti il y a quelques années déjà. Solide et fidèle, ce transfert affiche de belles valeurs et propose un univers visuel chahuté et altéré en permanence, mais suffisament affuté pour ne pas s'égarer dans les affres de la compression. L'encodage VC-1 suit la cadence avec uen belle fidélité, et même si un AVC aurait dans doutes amplifié les noirs et proposerait un rendu moins charbonneux de ceux-ci, force est de constater que le film baigne dans un contexte technique favorable, en dépit d'un bitrate somme toute mesuré.

 

 

Audio : Analyse artistique et technique de la bande-son

film2

De l'édition DVD, les multiples éditions même, il subsiste une bande-son très présente, racée sur le terrain artistique, mais pas forcément si spectaculaire que cela. Le crash inaugural propose pour sa part une scène sonore très mobile, sans abuser de la présence arrière. La première partie du film installe un univers acoustique plutôt frontal, tandis que la seconde partie use et abuse de la scène arrière en stéréophonie très marquée, lors des multiples déplacements des créatures. Le rendu demeure tout de même quelque peu mat dans son ensemble, en raison d'un budget sonore très limité. Des sonorités agréablement analogiques titillent nos sens, et proposent des pics acoustqiues parfois dantesques.

Le codec DTS-HD Master Audio (que nous pouvons enfin chroniquer en l'état suite à l'évolution de notre matériel de reproduction) suggère une finesse et une fluidité sans failles, et alterne le sombre, le subtil et le spectaculaire avec une aisance dopée aux 24 bit de sa définition d'ensemble. Les scènes sonores sont franches et massives, les plans sonores s'étagent avec un naturel qui laisse pantois. GLobalement, il s'agit ici d'une bande-son particulièrement immersive, qui parvient à suggérer une activité multicanaux de premier ordre parfois, avec une très grande finesse dans l'actvité des canaux. Leur interaction fait plaisir à entendre, et la férocité dont le mixage est parfois capable se voit décuplé par le format lossless qui incorpore des micro-détails et informations spatio-acoustiques inaudibles jusqu'alors. En ce sens, la réponse en fréquence se montre très large et rayonne très fort: le gaut du spectre est libre et ouvert (particulièrement travaillé lors de l'écoute en DTS-HD Master Audio), et le registre grave, sans en faire trop, propose un bel équilibre, même s'iln'atteint pas les octaves les plus bas. Suggestive et libérée, la bande-son se voit révélée et amplifiée, profitant d'une mobilité des canaux superlative parfois, avec des déplacements acoustiques tracés au rasoir qui envahissent la scène sonore dans sa globalité. La voie centrale se montre très définie et profite d'un bon 'niveau de vie' général, sans excès là aussi. Globalement, le mixage, sans être agressif à souhait, suggère un torrent dévastateur d'effets en tout genre, principalement lors de la seconde partie du métrage, avec une présence multicanaux qui sait employer les zones fantôme entre les diffuseurs avec une belle bonhomie. Par là-même, le codec DTS-HD Master Audio amplifie l'expérience et nourrit la substance sonore de l'intérieur, en lui octroyant une extension vers le grave et le haut du spectre, doublé d'une ouverture, que nous ne constatons pas sur la piste DTS mi débit Française. Mais attention toutefois, comme ce sera le cas sur de très grands nombres de pressages avec audio HD, les différences entre DTS mi débit et DTS-HD seront minimes, voire indiscernables de prime abord... Ici, les textures sont moins épurées en DTS-HD Master Audio, et le relief ambiant se montre plus précis, plus présent et davnatge étoffé qu'en DTS tout court.

 



Suppléments

Intégralement présenté en SD et en 4/3, elle se montre plus robuste que sur le HD-DVD et repose sur des featurettes issues des précédentes éditions DVD.

A signaler: une piste U-Control (profil BD Java 1.1 requis sur votre platine Blu-Ray) , qui présente de régulières vidéos faisant la part belle aux images du tournage, effets spéciaux, interview...

- Intro du réalisateur David Twohy
- Commentaires audio du réalisateur
- Commetaires des acteurs
- Deux modules sur le jeu vidéo
- Le carnet de bor de Johns Chase
- Making-of plutôt court
- Extraits de "Dark Fury"
- Encyclopédie des Chroniques de Riddick
- Evénement Rareworld (rave parties autour du film...)

Nos Notes du Disque

 

Note Image

Note DTS

Note artistique mixage

Note Interactivié

Note Image

Note DTS

mixage artistique

Note Interactivité

 

 
Note Globale

Note Globale



Note





jaquette


specifications techniques

- Blu-Ray Disc 50 Go
- 108 minutes (film)
- Zone B (PAL) - France
- Intro DTS: NON
- Changement de piste son à la volée possible



format video
2 .35:1 CinémaScope
1080p/24
Encodage VC-1

 

format DTS
- Anglais 5.1 Master Audio
(24 Bit, 48 Khz)

- Français 5.1 Mi Débit
- Japonais 5.1 Mi Débit
- Espagnol 5.1
Mi Débit



format PCM
- Aucun



sous-titres
- Français
- Anglais
- ...


interactivite
- Menus animés et 5.1
- Chapitrage
- Sélection codage son
- Accès aux suppléments





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