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NOS PARTENAIRES

X-Files: Régénération

Fox France (FPE)
(sortie vente zone B France 11/02/2009)

Un film de Chris Carter
Avec: David Duchovny, Gillian Anderson...

a Director's Cut (via seamless branching) ou version cinéma



Test conduit par Cornwall (Stéphane Roger)
film1
En plein milieu de la nuit, une employée du FBI est enlevée chez elle... Guidés par un ancien prêtre pédophile aux étranges visions, les agents Whitney et Drummy enquêtent. Très vite, leur investigation s'enlise : les indices sont minces et le temps presse. L'agence gouvernementale décide alors de refaire appel à Mulder et Scully. Leur expérience sur ce genre d'affaires sensibles pourrait s'avérer capitale. Mais des années ont passé depuis la fermeture du service des affaires non-résolues. Scully est redevenue médecin et Mulder, en disgrâce auprès du FBI, est introuvable...

 

DOSSIER DE PRESSE

Les plus grandes incertitudes planaient autour de la constitution du casting de ce deuxième long métrage. Robert Patrick était finalement parvenu à remplacer le célèbre agent Mulder dans les dernières saisons de la série, il pouvait donc prétendre à une place de choix dans le film. Malgré une certaine sympathie à son égard, les fans du monde entier auront été rempli de joie en apprenant que David Duchovny reprenait le rôle qui l'avait fait devenir une star interplanétaire. A ses côtés, Gillian Anderson reprend également du service en revêtant une nouvelle fois les vêtements de l'agent Dana Scully. Avec le succès de la série Californication, Duchovny a fait remonter sa côte de popularité au plus haut. Il avait par ailleurs annoncé depuis un certain temps son désir de reprendre le rôle de Mulder pour un nouveau long métrage, même s'il ne faisait plus partie de la série. Avec David Duchovny et Gillian Anderson de retour dans les effectifs du FBI, la recherche des extra-terrestre peut reprendre de plus belle ! D'autant plus que maître Carter n'est jamais très loin...
 
Le premier long métrage, The X Files, le film, avait été mis en scène par Rob Bowman, le réalisateur d'Elektra. Pour ce second opus baptisé X Files - Régénération, les fans du monde entier ont été ravi de voir que c'est le créateur de la série, et réalisateur de nombreux épisodes, Chris Carter, qui a pris les commandes. Sur ce film il est à la fois réalisateur, producteur et scénariste. De quoi rassurer toutes les personnes qui craignaient une perte d'identité de la franchise après autant d'années d'inactivité de l'univers X-Files. Carter semble avoir donc les pleins pouvoir sur son "bébé" pour l'amener exactement où il le souhaite. Au scénario, on retrouve d'ailleurs l'un de ses acolytes en la personne de Frank Spotnitz. Ensemble, les deux hommes sont les scénaristes principaux de toutes la saga X-Files, à la télévision et au cinéma. Il a également participé aux aventures Millennium, Au coeur du complot et Le Royaume qui sont, avec également A Brand New Life, les autres séries crées par son ami Chris Carter. Ce dernier n'est jamais parvenu à réitérer le succès obtenu avec la franchise X-Files.
 
Tout le monde a toujours semblé d'accord pour mettre en chantier la production du nouveau film X-Files. Le succès de la série a toujours été au rendez-vous et The X Files, le film a engendré d'énormes profits. Pourtant, alors que le projet devait couler de source, tout s'est avéré très compliqué. Le projet a eu beaucoup de mal à voir le jour. Il y a d'abord eu des soucis de casting puisque David Duchovny avait quitté la série, remplacé par Robert Patrick. Ce dernier a eu du mal à combler le vide au départ mais est finalement parvenu à se faire une place dans le coeur des fans de la série. De plus, il y avait une grande incertitude quant à la volonté de Gillian Anderson à reprendre le rôle de Dana Scully, elle aurait pu vouloir donner une autre orientation à sa carrière ou, au contraire, favoriser sa vie de famille et se focaliser entièrement sur l'éducation de ses enfants. A l'origine, le film devait sortir en Novembre 2001 afin de suivre la fin de la neuvième saison de la série mais, les négociations se sont éternisées. Le différent entre Chris Carter et la 20th Century Fox ne facilitant évidemment pas les choses. Finalement le tournage du film a débuté en Novembre 2007 à Vancouver et Pemberton (Colombie Britannique, Canada), une fois que tout fut rentré dans l'ordre...
 
C'est lors d'une scène où Gillian Anderson se trouve dans un hôpital qu'un homme assis sur un banc, tenant entre ses mains une urne blanche, peut sensiblement attirer le regard du spectateur. Cet homme, dont la présence à l'écran est fugitive, n'est autre que Chris Carter en personne ! A la manière d'un Alfred Hitchcock, Carter fait donc une courte apparition dans son film, une nouvelle manière d'affirmer la paternité du projet ou juste un simple clin d'oeil aux nombreux fans d' X-Files !
 
Et oui tout n'a pas été pour le mieux dans le meilleur des mondes cinématographiques et... télévisuels ! Il y eu sérieusement de l'eau dans le gaz entre Chris Carter et la 20th Century Fox. Le créateur de la série culte X-Files a poursuivi le studio américain en justice pour rupture de contrat. C'est en Décembre 2005 que Chris Carter a déposé une plainte auprès de la cour supérieure de Los Angeles. Le coeur de l'histoire tourne bien évidemment autour d'une histoire d'argent. La Fox n'aurait pas honorée une clause de son contrat vis à vis du célèbre créateur de la série qui devait toucher une partie des profits engrengés par la Saison 9 d'X-Files. Cette affaire a profondément nuit aux bonnes relations qui existaient entre Carter et la 20th Century Fox. Le retard de la mise en chantier de ce deuxième opus cinématographique n'est certainement pas étranger à cette affaire...

 

 

Vidéo : Que vaut l'image de ce Blu-Ray ?

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Des résultatrs enthousiasmants pour une qualité d'image très sincèrement accrocheuse. Ce pressage offre beaucoup à voir dans les scènes de pénombres, nombreuses, proposant un excellent niveau de l'échelle des gris, et des noirs profonds, dont certains figurenent parmi les meilleurs observés ces derniers temps. D'occasionnelles petites bévues entâchent toutefois certaines scènes sous exposées ou en situation de basse lumière, mais elles ne sont pas légion. Pour le reste, les plans en extérieur jour bénéficient d'un très séduisant aspect avec une très belle exposition, et une définition tranchante. Détaillée, fne et au final très cnéma, l'image offerte ici séduit par sa stabilité et son sens du détail. Les textures possèdent beaucoup de matière sur le quasi-ensemble du métrage, et les détails abondent. Les contrastes se montrent forts et très marqués, et établissent un niveau de discernement très agréable. La gamme colorimétriqe a été filtrée, certes, mais dans la dernière aprtie du film, sans sur-saturation trop artificielle, elle se montre plus poussée et réserve quelques beaux dégradés de couleurs. Les innombrables plans enneigés, artificiels ou non, accrochent par leur tenue et par la profondeur des images. les premeirs plans affichent un excellent niveau de détail laissant entrevoir jjusqu'aux pores de la peau des acteurs. Les teints de chair sont à l'avenant en dépit du filtrage ambiant et des conditions lumineuses, preuve d'un étalonnage numérique méticuleux. II se dégage de ce transfert un sentiment argentique assez marqué, avec du grain sous contrôle, très fidèle à la diffusion en salles de cinéma, mais avec les avantages nets et tranchés de la Haute Définition. Certaines séquences nocturnes comme celle de la poursuite au coeur du film se montrent très élégantes et sans bévues compressives. Le codage AVC se fait oublier, et établit dès le départ une très belle fluidité qui ne sera jamais entravée. Globalement, cette édition Blu-Ray dispose de sérieux atouts, et propose des conditions de visionnage idéales en tout points. La profondeur de champs sur certains plans (extérieurs jours, paysages enneigés) se montre très 'profonde' et s'étale presque jusqu'à l'infini. Une qualité d'image fidèle aux vertus du format Blu-Ray, et respectueuse des intentions artistiques de Chris Carter.

 

Audio : Analyse artistique et technique de la bande-son

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Sans constituer une surprise de taille, le film étant majoritairement constitué de dialogues, contrairement à son prédécesseur plus agité et davantage tourné vers l'action, la bande-son proposée s'offre un confort acoustique d'une très belle transprence, associée à une dynamique suffisament généreuse. L'esentiel du spectacle sera diffusé depuis la scène avant, mais l'arrière de l'espace sonore saura exister de manière naturelle et parfois profonde. Le paysage sonore du film reprend l'essentiel de ce qui faisait le charme de la série: des univers acoustiques réalistes, simples et concrets, transpercés par des nappes musicales d'ambiance capables de beaux crescendos. Après une ouverture tonitruante qui exploite tous les canaux disponibles, la suite installe un climat jamais vraiment inquiétant, mais très disposé à faire rayonner clarté et transparence. En ce sens, les dialogues se détachent parfaitement, et possèdent du caractère et du corps. On leur reprochera de ci de là une sensation de volume plus limitée, mais ils se montrent globalement réalistes et orchestrés de main de maître. De la hauteur, du poids, de la présence, et un sentiment d'espace sonore virtuel (éloignement percpetible par rapport aux micros) qui leur confère une place de choix au coeur de la scène sonore, et que le ccodec DTS-HD Master Audio (Anglais) exploite avec une remarquable dextérité.

Savamment composée, la scène frontale se montre expansive sans trop en faire, et rayonne très 'large'. Elle s'appuit sur un sentiment de dynamique permanent et sur une 'expressivité' particulièrement alerte, le tout associé à un sentiment de transparence et de clarté que l'on ne soupçonnait pas. Ouvert, large et détaillé, le son demeure intense et présent, clair et prenant. La triphnie frontale dispose de sérieux atouts pour mettre en évidence le travai méticuleux de mixage et de montage, composé de nappes musicales harmonieuses et symphoniques, et de sonorités plus agressives, qu'il s'agisse d'ambiances ou d'effets naturels. Sans forcer la dose, la mesure étant de rigueur, trois enceintes suffisent à distiller le suspense de main de maître, rendant chaque articulation musicale (montée de cordes, cuivres...) pregnante et porteuse de sens. Le recours à la scène arrière se fait avec fluidité et naturel: les voies surround prolongent les ambainces frontales de manière discrète mais persistante, proposant des textures sonores délicates et variées, qui habillent les ambiances et détaillent les effets avec une parcimonie et un sens du détail inné. Certaines manifestations sonores possèdent une présence fantomatique et holographique (ouverture du film), et proposent une scène sonore panoramique jamais ouvertement tournée vers l'artifice. A tout ceci s'ajoute un regsitre grave bien établi, même si le sous-grave peine parfois à s'exprimer pleinement. Tactile, le registre grave habille la partition de Mark Snow, et émane des diffuseurs principaux, délaissant quelque peu le caisson. Lors de certaines séquences, ce registre explore le bas du spectre avec autorité et persuasion, tout en maintenant une sensation de poids réaliste et dense. Jamais outrancière, toujours mesurée mais belle et bien effective, la spatialisation devient partie intégrante de la diégèse et distille des sensations acoustiques très agréables et ancrées au coeur du récit.

Mais ce titre représente également une fort belle occasion de découvrir les avnatges du son lossless (sans pertes, sans compression). Une telle clarté, une telle finesse dans les restitutions des ambiances, un tel sentiment de transparence acoustique est difficilement réalisable sur les codages à perte qui étiolent la substance même du son et sa préhension par l'oreille humaine. Le codec DTS-HD Master Audio oeuvre ici à clarifier les messages, détailler les tonalités, et découper le paysage sonore avec précision et acuité. La réponse en fréquence s'y montrera plus ouverte, plus pline, plus chargée de détails et autres micro-aspérités. Une comparaison rapide avec la piste DTS mi débit Française mettra en évidence la supériorité naturelle du codage lossless: rugueuse, aplatie et flasque, sourde et acoustiquement inepte, la VF se montre totalement ratée, et ceci est en partie du au mixage de cette version Française. Lorsque l'on repasse en Master Audio, le son récupère une présence et un naturel hors pairs, ainsi qu'une transparence et une vivacité expressive qui ont de quoi marquer. Plus mobile, plus détaillé, davantage étoffé, au rapport sgnal sur bruit idéal, le codage lossless restitue chaque bribe du mixge original, artistique et technique, dans sa plus pure expression. La définition sonore et le sens du détail acoustique, le relief sonore, redeviennent prioritaire, et s'affranchissent de toute forme de compromis par compression. Le son récupère son entiereté et sa légéreté naturelles, même dans les moments de silence. Le traitement de la musique (artistique et technique) devient limpide et étalé sur tous les canaux avec naturel et 'organicité'.

Un mixage parfois minimaliste, mais toujours dense et efficace, qui suit le parcours du film avec une belle agilité.



Suppléments

Très complète, l'interactivité propose des segments en Haute Définition, et d'autres en SD upscalée.


- Commentaires audio visuel (pip) de Chris Carter.

- Making of passionnant de une heure vingt six, organisé en chapitres, et qui détaille chaque aspect de la production (16/9, DD 2.0, SD upscalée). Il comporte, en outre, de superbes photos de production, de chaque membre de l'équipe, et fourmille d'anecdotes qui, pour la peine, nous font totalement redécouvrir ce film maudit. Fascinant et excellement bien réalisé, voilà un supplément qui fait sincèrement plaisir à voir. A ne pas manquer.

- Scènes coupées

- Hilarant bêtisier (HD, 9 minutes) qui propose des images du film non étalonnées, parfois plus belles que celles retenues pour le montage final (étalonnées, elles).

- Le clip de Xzibit, à regarder sans le son (quelle est donc cette atroce chason?), puisqu'il présente une succession de photos de production toutes superbes, en Haute Définition (4 minutes environ)

- Timeline complète des X-Files (difficile d'accès, temps de chargement excessivement long)

- "Body Parts: Special Make-up Effects":featurette réussie sur les maquillages et moulages de silicone

- "Chris Carter: Statements on Green Production" (featurette)

- Bandes-annonces (Dolby Digital 5.1)

- Options de visionner le film et d'accéder à des suppléments en temps réels à l'aide des touches colorées de la télécommande:

-Index (Touche Rouge)
-Commentaire vidéo du cinéaste et du producteur (Touche verte)
-Behind The Camera (Touche bleue)
-Storyboards et Concept Art (Touche jaune)

 

Une intéreactivité poussée et très aboutie, mais qui ne parvient pas à faire oublier les temps de chargement outranciers, et la disparition de l'option BD-Live du zone A, qui permettait de se créer un avatar X-File et de le mettre sur le réseau...


Nos Notes du Disque

 

Note Image

Note DTS

Note artistique mixage

Note Interactivié

Note Image

Note DTS

mixage artistique

Note Interactivité

 

 
Note Globale

Note Globale



Note
jaquette


specifications techniques

- Blu-Ray Disc 50 Go
- 107 minutes (film)
- Zone B (PAL) - France
- Intro DTS: NON

- Changement de piste son à la volée possible



format video
2.35:1 Cinémascope
1080p/24
Encodage MPEG-4/AVC

 

format DTS
- Anglais 5.1 Master Audio (48 Khz, 24 Bit)

- Français 5.1 Mi Débit
- Allemand 5.1 Mi Débit
- Espagnol
5.1 Mi Débit



format PCM
- Aucun



sous-titres
- Français
- Anglais
- ...


interactivite
- Menus animés et 5.1
- Chapitrage
- Sélection codage son
- Accès aux suppléments





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