SYNOPSIS
Quatre anciens membres de l’armée américaine, des vétérans de la Guerre en irak, tentent de blanchir leurs noms auprès de celle-ci, qui les suspecte d’avoir commis un crime. L’ équipe compte bien prouver son innocence.
DOSSIER DE PRESSE
Dans l’une des bandes-annonces, il est possible de voir Barracuda (Quinton ‘Rampage’ Jackson) siffloter le célèbre thème de la série. Sauf que dans le film, l’air qu’il entonne est complètement différent…
Au début du film, lorsque les héros arrivent à l’Hôpital pour Vétérans de Guerre, Hannibal (Liam Neeson) engage la discussion avec un homme qui n’est autre que le réalisateur Joe Carnahan, qui était déjà apparu de la même façon dans Mi$e à prix (2007).
L’acteur Henry Czerny, qui joue ici l’un des supérieurs de Lynch (Patrick Wilson), n’est pas un novice en matière d’adaptation de série télévisée, puisqu’il figurait déjà au casting de Mission : Impossible.
L’Agence tous risques est l’adaptation de la célèbre série américaine éponyme des années 1980, créée par Frank Lupo et Stephen J. Cannell. Ce programme comprend 97 épisodes de 47 minutes, et a été diffusé aux Etats-Unis entre 1983 et 1987.
Joe Carnahan insiste sur sa volonté de rendre son film beaucoup plus sombre que la série. Pour ce, il a cherché à ce que cette nouvelle histoire soit en phase avec le contexte politique actuel. Cela étant, le metteur en scène explique tout de même avoir voulu conserver l’aspect dynamique propre à L’ Agence tous risques à la télévision : « Le projet était très convoité, et adapter une série que j’ai adorée quand j’étais enfant était difficile à refuser. Nous sommes restés très fidèles à la série par respect pour les générations de fans qui ont grandi avec elle, mais nous voulions aussi la faire entrer dans le XXIe siècle », explique-t-il.
Comme souvent dans ce genre de grosses productions, plusieurs acteurs connus ont été pressentis pour jouer tel ou tel rôle. C’est le cas de Bruce Willis, qui devait prêter ses traits à John « Hannibal » Smith, finalement interprété par Liam Neeson. Les rappeurs et acteurs Ice Cube, Common et The Game ont tous les trois été en compétition pour jouer le personnage de Barracuda, attribué à Quinton ‘Rampage’ Jackson, un spécialiste des arts martiaux. Enfin pour Murdock (Sharlto Copley), Woody Harrelson et Ryan Reynolds ont été envisagés. Quant à la réalisation du film, elle devait d’abord être confiée à John Singleton (Shaft en 2000, 2 Fast 2 Furious en 2003, etc.).
CODEC VIDEO: AVC
1080p
FORMAT: 2.35:1
Fox (France), disponibilité: 29 octobre 2010
Dans l’ensemble, le rendu image proposé ici possède fort largement de quoi séduire sur toute la ligne: température colorimétrique ébouriffante, étalonnage finement ajusté, sublimé par le codec vidéo AVC, définition aiguisée, contrastes forts et épanouis etc… . Le rendu se montre cinégénique en diable, et permet de s’immerger totalement dans ce film de Joe Carnahan, qui commence de manière presque trop douce, avant de proposer un luxe de décors et situations toutes plus différentes les unes que les autres, avec, à chaque fois, une prestance visuelle faite d’une grande propreté et d’une fluidité sans faille. De bout en bout, la finesse séduit, ainsi que les choix colorimétriques, savamment saturés et aux tons chauds à n’en presque plus pouvoir, qui mettent en valeur un univers tour à tour farcesque et rempli de poussière et de débris. Une véritable démonstration qui officie avec rage et fureur et se pose comme un produit calibré pour les équipements Haute Définition, dépourvu de tout artefact et se faisant fi des limites compressives.
DTS-HD Master Audio 5.1: Anglais. Français, talien etc… sont proposés en DTS 5.1 (754.75 Kbps)
24 Bit, 48 Khz
OFFSET: aucun
Après une ouverture (les trois premiers quart d’heure) certes réussie, mais quelque peu en demi-teinte (présence arrière secondaire, scène sonore manquant de largeur et d’épanouissement), le reste du métrage officie avec un brio tout à fait remarquable, avec une mention spéciale pour la dernière partie, qui propose des descentes dans le grave absolument saisissantes. Oeuvre d’action oblige, le film de Joe Carnahan propose une scène sonore mobile et agitée, mais semble davantage se focaliser sur la clarté du message audio que sur l’esbroufe acoustique radicale. Lors des séquences d’action, l’ensemble des canaux bat la cadence, réagissant aux multiples sollicitations requises par les situations, mais ne s’ouvre pas pour autant de manière exagérée sur le champs arrière, qui semble presque sous-exploité lors des séquences « iconiques ». En contrepartie, (technique ou artistique?), nous assistons à de massives remontées de la gamme dynamique, et nous profitons d’une mise en avant des détails sonores réellement saisissante. L’ensemble du film propose en ce sens un luxe de détails sonores, qui se voient présentés avec une clarté cristalline et une netteté sonore qui, dans l’ensemble, font toute la différence. La non-compression semble davantage lisible dans les séquences les plus calmes, tandis que les séquences au montage plus morcelé affichent une dynamique furibonde à la réponse en fréquence ciselée (la chasse aérienne) particulièrement ouverte sur les zones médium et aigue.
Sans pour autant décevoir, on s’étonnera de constater que le spectacle n’est pas situé sur l’arrière ou das les zones d’ordinaire perçues comme spectaculaires, mais au contraire dans le spectacle lui-même, au coeur de la scène frontale, qui réagit avec une agilité dithyrambique et une finesse notable. Dynamique et puissamment ouverte lorsque l’action le requiert, cette bande-son surprend à bien des égards, de manière focalisée et savamment étudiée: coups de feu qui ricochent avec rigueur, explosions appuyées et détaillées par le canal de graves (scène finale des containers, un véritable régal), déplacements d’engins au réalisme quasi-surréaliste… . Energie et puissance sont indéniablement de la partie, mais on s’étonnera toujours de noter que la première heure propose une activité arrière moindre que sur la première demie-heure de la récente édition Blu-Ray de Retour Vers le Futur, pourtant présenté par la presse en ligne comme très avare de ce côté là… . Qu’importe: le réalisme de la scène sonore et ses innombrables coups d’éclat, tout autant que son énergie musclée et dévastatrice sur de bien nombreuses séquences savent faire toute la différence. L’audio-visionnage laissera le spectateur comblé et satisfait.
- Version longue du film (15 minutes supplémentaires)
- Dans l’action avec Joe Carnahan (environ 2 heures) : fonction PiP lors de lecture du film.
- Scènes inédites (9m05)
- Bêtisier (7m20)
- Thème musical du film (1 minute 36) : tous les passages du film dans lequel on peut entendre un extrait du célèbre thème musical sont réunis pour donner un clip vidéo de ce générique culte.
- Plan d’attaque (28:35)
- Chronique des personnages (23:10)
- Les effets visuels (06:10)
- Bande-annonce (Dolby Digital 5.1)
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